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Cosmétiques haut de gamme et soin du cheveu

Cosmétiques haut de gamme et soin du cheveu

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Ouvrages indispensables pour tous ceux qui souhaitent s'informer correctement et facilement ! 

Sauna Infrarouges

Les infrarouges longs

Les hommes, tout comme les plantes, dépendent de la lumière.
Les photons ont la capacité de stimuler le système endocrinien, notre métabolisme, l’activité du cerveau ou bien encore les réactions enzymatiques.
Ce sont des catalyseurs dans la production de sucres, graisses et protéines.
Lorsque au sein des photons, la fréquence appropriée manque, les enzymes fonctionnent plus lentement, ce qui peut se traduire par une moindre capacité à brûler graisses et toxines, à une moindre assimilation également.

Nous savons que les bains de soleil favorisent la capacité des poumons à assimiler l’oxygène, et celle du sang à transporter celui-ci. Il existe un lien entre manque d’oxygène et fatigue chronique.
Le spectre solaire est composé d’infra rouge, de lumière visible (les couleurs de l’arc en ciel) d’ultra violets, de rayon X et rayons gammas.
La plus grande partie de l’énergie solaire est fournie par les infra rouges (ce sont eux qui transmettent la chaleur).

Ceux-ci se décomposent ainsi :

Infra rouge court 0.75 à 1.5 microns
Infra rouge moyen 1.5 à 5.6 microns
Infra rouge long 5.6 à 1000 microns

Les IR courts transmettent la chaleur à la surface de la peau sans pénétration profonde (quelques mm), ils peuvent à l’excès s’avérer dangereux.

Les IR longs, quant à eux, pénètre en profondeur (plus de 4 cm) sans stimuler la surface de la peau.

Nous-mêmes, organismes humains, rayonnons des infra rouges longs dans une fréquence de 5 à 14 microns.
De la paume de nos mains émanent 8 à 14 microns, ce qui pourrait expliquer les soins obtenues par l’imposition des mains, la chaleur infra rouge longue pénètre alors du soignant vers le soigné.

Les IR longs sont donc utilisés pour augmenter la température du corps.

L’un des grands intérêts des IR longs : l’élimination des déchets ; l’excrétion est la meilleure des préventions.
Nous nous débarrassons ainsi des déchets de la digestion tel l’acide lactique responsable de courbatures, fatigues.
Les IR facilitent l’osmose des molécules d’eau à travers la membrane cellulaire ainsi que la migration des ions calcium vers cette même membrane. Plus simplement, il y a augmentation de la vitalité des cellules et des liquides du corps humain.
Enfin, ils permettent d’améliorer l’état de la peau et ralentissent le vieillissement.

Les tests démontrent que l’absorption des IR longs est de l’ordre de 93%, ce qui est considérable… et logique, puisqu’il s’agit de fréquences qui sont également les nôtres. Par ailleurs, le Dr Tan-Tsair Oliver Chi a pu observer que « les tissus qui ont besoin d’être stimulés absorbent ces rayons de façon sélective. Après avoir saturé un tissu jusqu’à un seuil maximal, le reste des rayons poursuit leur route sans nuisance ».
Les IR longs font partie du quotidien des japonais depuis presque 40 ans.Ils sont trop peu connus en France et méritent qu’on leur prête une attention plus grande afin d’améliorer notre qualité de vie.

La phycocyanine

Outre la Phycocyanine, l’extrait contient une partie de la fraction hydrosoluble de la spiruline : des protéines, des acides aminés, des enzymes, des sucres, des vitamines hydrosolubles, des sels minéraux. La phycocyanine est le principal pigment présent dans la microalgue Spirulina platensis.

C’est le seul colorant bleu alimentaire naturel autorisé en Europe et il est également utilisé dans quelques produits cosmétiques. Ce phytopigment protéique fluorescent absorbe et capture les photons puis transforme cette énergie lumineuse en énergie électro-biochimique. Le groupe bilin qui la constitue est très proche des pigments biliaires de l’homme, ce qui pourrait expliquer son activité détoxifiante et hépatoprotectrice.
La phycocyanine a la capacité de développer des propriétés bénéfiques pour la santé des consommateurs, démontrées au cours de nombreuses expériences réalisées in vitro et in vivo chez différents modèles animaux.
L’extrait liquide de Spiruline fraîche permet d¹avoir une bio-disponibilité total des molécules sous leurs formes natives. Anti-tumoral : Plusieurs études montrent que la spirulina ou ses extraits permettent d’empêcher ou d’inhiber des cancers chez l¹humain ou l¹animal.

Des biologistes spécialisés en cytologie ont défini un système d’enzymes spéciales dites endonucléase qui réparent l’ADN endommagé permettant de garder les cellules vivantes et saines. Lorsque ces enzymes sont désactivées sous l¹effet de la radiation ou des toxines, les erreurs de codage de l’ADN ne sont pas réparées. Selon des études in vitro, les polysaccharides spécifiques de la spirulina permettent d¹améliorer l¹activité enzymatique du noyau cellulaire et la synthèse réparatrice de l’ADN. La phycocyanine de la spirulina stimule la production du sang .

La spirulina est de couleur bleu-vert sombre parce qu¹elle est riche en un polypeptide bleu vif dit phycocyanine. Des études ont montré que cette substance influait sur les cellules souches situées dans la moelle osseuse. Celles-ci servent de cellules souches à la fois aux globules blancs qui constituent le système immunitaire cellulaire et aux globules rouges qui assurent l’oxygénation de l’organisme. Des scientifiques chinois ont prouvé que la phycocyanine stimulait l’hématopoïèse, reproduisant l’effet de l’hormone érythropoiétine (EPO). Celle-ci, produite par des reins sains, règle la production par les cellules souches des globules rouges dans la moelle osseuse.
Les scientifiques affirment également que la phycocyanine règle la production de globules blancs, même quand les cellules souches dans la moelle osseuses trouvent endommagées sous l¹effet de produits chimiques toxiques ou de radiation.

NB : ces informations sont à but éducatif et ne dispensent pas de la consultation d’un professionnel de santé.

Harmoniseurs

Il y a aujourd’hui 14000 fréquences qui sont considérés comme pathogènes. Ceci va de la pollution électrique sous ses diverses formes jusqu’aux antennes relais en passant par le wifi. Nos harmonisateurs envoient un faisceau de fréquences contraires à celles identifiées comme pathogènes. Ainsi se superposent de manière opposée avec un décalage de phase de 180° deux ondes de même longueur, même fréquence, cadence et amplitude : ces deux ondes s’annulent alors mutuellement. Ce phénomène, en physique, est appelé interférence destructive. Nos harmonisateurs qui utilisent le circuit électrique comme support d’information ionisent également l’air par ce biais. L’air s’auto-assainie, les mesures révèlent une diminution moyenne des germes et particules de poussière de 86 %. Les odeurs disparaissent plus vite. La ionisation de l’air permet une meilleur audition ( nos harmonisateurs ont reçu le « diapason d’or », récompense accoustique ) et respiration. Les ions négatifs détendent à l’inverse des ions positifs. Nos harmonisateurs se déclinent pour la maison, la voiture, le téléphone, la personne ( bracelet ).

En Allemagne, il existe en toute 300.000 stations d’émission de téléphonie mobile, environ deux millions de plus petits émetteurs, environ 100 millions d’émetteurs domestiques comme le Wifi ou les téléphones sans fils, ainsi qu’environ 100 millions de téléphones mobiles. Ils produisent et émettent tous une radiation électromagnétique, (micro ondes) à laquelle nous sommes exposés sans protection dans la nature et dans nos propres quatre mûrs. En plus de la radiation électromagnétique à haute fréquence, nous influencent aussi et encore les champs de basses fréquences produits par des plus petits appareils électroménagers et les câbles électriques dans l’habitat, dans le trafic et dans l’industrie, et qui sont pour nous une influence continuelle et négative. Les lignes à haute tension produisent également des champs à basses fréquences où il n'y a pas non plus de protection naturelle suffisante contre l’électrosmog. C’est justement pour cela que de plus en plus de personnes se préoccupent de la question : que faire contre l’électrosmog?

Protégez-vous efficacement contre l’électrosmog.

Des milliers de clients et d’utilisateurs satisfaits, issus de tous les domaines de la vie, émettent une parole nette. l'harmoniseur veille à ce qu’un environnement de vie naturel reste conservé. Pour plus de vitalité et de joie de vivre. Les champs électromagnétiques, tels qu’ils se présentent dans la nature, comptent parmi les conditions essentielles de la vie et par là pour les bases de notre vie. Particulièrement, nos nefs et les fonctions cellulaires musculaires reposent fondamentalement sur la production biochimique de champs électriques naturels.

Ceux-ci sont mesurés et évalués par le médecin pour l’examen de notre fonction corporelle, par exemple lors d’un ECG (électrocardiogramme, fonction du muscle cardiaque), EEG (électroencéphalogramme, fonctions des courants cérébraux) ou EMG (électromyogramme, fonction musculaire).
De nos jours, les signaux radioélectriques sont techniquement (artificiellement) souvent des millions de fois plus forts que les champs survenant naturellement, en quoi l’homme interfère massivement dans ces processus naturels. Nous sommes toujours plus souvent, volontairement ou involontairement, exposés à l’influence de champs électromagnétiques générés artificiellement. Par la mise en place de l’internet mobile (radiations Wifi de Smartphones ou de tablettes), ou du Bluetooth et des nouvelles technologies pour la transmission de données mobiles (UMTS, LTE, etc.) la perturbation atteint une nouvelle dimension et qualité insoupçonnée. 

Lire notre article ...

Silicium organique

Le silicium est présent un peu partout dans le corps humain, qui en contient en moyenne sept grammes. Nous le retrouvons dans différents organes et glandes — poumon, rate, foie, cœur, cerveau, pancréas, surrénales, thymus. L'organe de la peau (et ses dérivés : cheveux, ongles ) contient également du silicium en proportion significative. Nous retrouvons aussi sa présence au sein des os, des cartilages, du cristallin, des parois vasculaires, de l'émail dentaire, etc. Il est présent dans nos cellules en quantités variables selon la localisation. C'est surtout l'un des constituants du tissu conjonctif, le tissu corporel le plus abondant dans le corps dont la fonction est d'assurer jonction et soutien. Le cartilage, le tissu osseux, le tissu adipeux, le tissu vasculaire (sang) sont des tissus conjonctifs. Le tissu conjonctif entoure également les fibres musculaires, compartimente les lobes du poumon, les oreillettes et ventricules du cœur, etc. Au sein du tissu conjonctif, le silicium induit ou régule la multiplication des fibroblastes, ceux-ci étant responsables de la formation des fibres collagènes et élastiques générant souplesse et élasticité.

Au sein du corps humain, nous trouvons le silicium sous différentes formes :

- 10 % libre et soluble dans l'eau,
- 60 % combiné aux protéines,
- 30 % combiné aux lipides.

Autant dire du silicium qu'il est universel. Si nous ajoutons à cela sa présence importante dans le sol, son rôle tout aussi important au sein du règne végétal (rôle de soutien, résistance aux agressions, rôle dans la croissance, interaction avec d'autres éléments ), si nous étudions sa présence au sein des différents règnes, force est de constater qu'il est un acteur important du vivant. Ce merveilleux «capital» s'amoindrit au fil des ans car l'absorption diminue avec l'âge, ce d'une manière inéluctable. Le silicium n'a pas de lieu de stockage, il est directement lié à l'apport quotidien. Les sorties devenant supérieures aux entrées, nous nous retrouvons devant un appauvrissement de notre capital. Contrairement aux idées reçues (ou à l'idée communément admise), le silicium n'est pas un oligo-élément mais un élément indispensable vu son implication à divers niveaux cités plus haut. Le silicium organique est difficilement accessible dans la nature car rapidement lessivé du fait de son hydrosolubilité. La tradition nord-africaine d'enterrer dans du sable jusqu'au cou les personnes atteintes de rhumatismes afin de les soulager et de les "régénérer" utilise empiriquement les vertus du silicium organique. Nous pouvons également trouver du silicium organique dans le règne végétal, mais sa concentration est sans commune mesure avec celle que nous pouvons extraire du quartz.

BIODISPONIBILITÉ ÉLEVÉE

Afin de mieux comprendre la biodisponibilité du silicium organique, il importe de différencier les formes biochimiques de la silice et du silicium. — Le silicium colloïdale — prèle dans sa plus grande partie, silices minérales : argile ou autres — est formée de colloïdes en suspension dans l'eau. Un colloïde est en quelque sorte à mi-chemin entre solide et soluble; il est de ce fait plus assimilable qu'un solide mais son assimilation est sans commune mesure avec un soluble — pour augmenter 1'assimilation d'un colloïde, la technique employée généralement est de réduire celui-ci. Mais revenons à notre silice colloïdale : pour passer la barrière digestive, celle-ci s'associe avec une protéine qui lui sert de transporteur. Cette protéine ne lui est pas spécifique, elle se lie également à d'autres oligo-éléments, minéraux et substances. Elle possède par conséquent un seuil de saturation. Le silicium colloïdale est donc de très faible absorption. S'il fallait donner un chiffre concernant son taux d'absorption, celui-ci voisinerait les 3 %. Ces 3 % représentent donc la fraction efficace qui donne déjà de très honorables résultats thérapeutiques.
— De par son hydrosolubilité et du fait de sa liaison directe avec des acides aminés transporteurs, le silicium organique est directement absorbable à des taux très élevés. S'il fallait donner un chiffre, celui-ci voisinerait les 70%. L’élimination du silicium organique est à la fois fécale et urinaire; il n'existe pas de phénomène d'accumulation : l’élimination urinaire ou rénale représente une moyenne de 40 % du silicium.
Lorsque nous consommons peu de fibres, l'élimination fécale du silicium ingéré est inférieure — 50 à 60 — à un régime riche en fibres — 80 à 95. Ceci s'explique par l'augmentation de l'excrétion mais également par le pouvoir complexant des fibres. Nous retrouvons ce même phénomène dans la déminéralisation observée lors de la consommation de blé complet, son acide phytique se fixant (chélation) à certains minéraux, les emporte dans l'élimination fécale.
Paradoxalement, ce sont donc les fibres, pourtant source de silicium, qui s'opposeraient à l'adéquate assimilation du silicium. Par ailleurs, le silicium organique est sensible aux variations de pH. Il apprécie un milieu légèrement acide. L'utilisation concomitante de citrates — minéraux basiques utilisés pour rééquilibrer le pH —est déconseillée car ceux-ci risqueraient de précipiter le silicium organique, diminuant ainsi ses qualités propres et réduisant fortement ses effets bénéfiques. Le silicium organique est aussi réactif avec le verre et surtout les métaux dont il lui faut éviter le contact. De plus, il n'apprécie ni le froid ni la chaleur. Pour conclure sur la biodisponibilité élevée du silicium, contentons-nous de nous rappeler que le besoin journalier chez l'homme est en moyenne de 20 à 30 mg. Une concentration d'environ 0.03 % de silicium organique en solution dans le cadre d'un apport exogène nous semble une dose physiologique adéquate.

RÉÉQUILIBRAGE IONIQUE

Afin de mieux comprendre l'action du silicium sur le rééquilibrage ionique, tâchons d'abord de comprendre comment fonctionne la cellule, et plus précisément la membrane plasmique qui gère les échanges entre ce qui entre et ce qui sort.
La membrane plasmique entoure le contenu de la cellule et le sépare du liquide extracellulaire. Elle est une barrière entre les milieux interne et externe de la cellule dont la charge ionique diffère. Elle maintient des compositions chimiques très différentes entre ces deux milieux, créant un gradient, une différence électrique et chimique entre l'intérieur et l'extérieur de la cellule.
Si nous étudions en détail la molécule de silicium organique, nous pouvons voir qu'elle est chargée en forte proportion d'ions instables. L’instabilité ionique est une constante dans la chimie des silanols, que ceux-ci soient sous forme de silanol, silane-diol ou silane-triol. La présence d'acides aminés dans le silicium organique apporte la stabilité de la structure moléculaire, ce qui permet une excellente biodisponibilité de l'élément silicium : celui-ci va jusque dans la cellule, rétablissant son potentiel membranaire et permettant l’intégrité cellulaire. Il assure ainsi aux cellules une meilleure résistance ainsi qu'une meilleure gestion des échanges (exportation des déchets, importation des substances nécessaires à son bon fonctionnement).
Une autre propriété remarquable du silicium organique : la transmission de l'information. Pour éclairer notre propos, faisons l'expérience suivante : Cultivons des cellules au sein d'une solution nutritive dans deux ballons en quartz. Faisons en sorte que les deux récipients se touchent par la paroi. Si nous contaminons l'une des cultures par un virus, les cellules de l'autre ballon deviennent, elles aussi, malades dans le même temps. Si nous recommençons l'expérience, la même influence — quelle que soit sa nature — se transmet au ballon voisin supposé indemne. Si nous analysons le contenu de celui-ci, nous ne trouvons pas le virus contenu dans le premier ballon. Nous avons donc les symptômes sans le corps étranger proprement dit.
À présent, remplaçons les deux ballons de quartz par deux ballons de verre. Accolons-les de la même manière. Introduisons le virus dans le premier ballon. Aucun transfert ne se fait, le contenu du second ballon reste indemne.
Le quartz — ou dioxyde de silicium — va donc laisser passer l'information. Il est intéressant à ce propos de faire le parallèle avec l'emploi du silicium en informatique où il est utilisé en tant que semi-conducteur, où une augmentation de température permet une libération d’électrons.
Mais revenons à notre expérience et à nos deux ballons de quartz. L'information qui va se propager est celle que nous allons induire, choisir. Si, dans la solution nutritive contenant le virus, nous ajoutons une solution adéquatement préparée d'huiles essentielles, celle-ci, bien choisie, détruira le virus et renforcera la protection cellulaire contre l'infestation ou la réinfestation virale. Elle agira également sur le potentiel d'ionisation (pH), le potentiel d'électronisation (rH2), ainsi que sur la mobilité ionique (résistivité). Si les ballons sont en quartz, les réactions cellulaires passeront d'un ballon à l'autre dans la mesure où ils sont accolés.
Mais quel est donc le «véhicule» qui permet à l'information de traverser le quartz ? Il s'agit de photons. Ils se chargent de l'information et lui font traverser le quartz qui, vu sa structure cristalline, a un pouvoir de filtration et permet de sélectionner les fréquences porteuses d'information. Une information ne peut être portée que par un certain type d'onde que — semble-t-il — seul le quartz est capable de filtrer.

LE SILICIUM ORGANIQUE ET LA PEAU :

Le taux de silicium diminue avec l'âge au niveau de la peau. Le vieillissement cutané est dû essentiellement à cette chute de silicium dans l'organisme. Très stable, le silicium organique confère sa stabilité aux molécules qui en contiennent et évite par conséquent leur dégradation. Il assure également l'intégrité des fibres d'élastine et évite les dépôts lipidiques responsables de l'élastolyse. L'impact du silicium organique se manifeste à plusieurs niveaux :- Action cytostimulante : le silicium stimule la croissance des fibroblastes et la synthèse de l'élastine et du collagène. Ceci a pour conséquence de rendre à la peau sa tonicité et permet d'atténuer rides et ridules.- Action hydratante : les groupements hydroxyles présents dans les complexes Silicium organique-acides aminés constituent un réservoir de molécules d'eau disponibles dans les couches cutanées. Par ailleurs, lorsque le métabolisme cellulaire est perturbé, la peau est mal hydratée et les hydratants classiques sont incapables de rétablir une hydratation durable. Par contre, le silicium organique par son rôle réparateur et sa capacité de vecteur hydrique, va permettre la réinstallation d'une hydratation durable et profonde.- Action anti-radicaux libres : le silicium organique engendre au niveau des fibroblastes une réorganisation des lipides au sein de leurs membranes, rendant celles-ci moins sensibles à l'attaque des radicaux libres.

Textes tirés du livre "Le silicium organique nouvelle approche" Edition M SANTE
Reproduction strictement interdite sans autorisation

Neurotransmetteurs


IDENTIFIER UNE CARENCE D’UN NEUROTRANSMETTEUR


Il est bon et utile d’identifier ces carences, car un neurotransmetteur agit autant sur un plan physique qu’émotionnel. Ceci vous permettra de faire le lien entre un comportement et des soucis physiques. Nous vous proposons un test (issu de notre livre « Qui suis-je ?) dont les questions sont volontairement tranchées. On ne peut y répondre que par oui ou non. Ce test se décompose en quatre parties. Pour chacune d’elles, comptabilisez le nombre de réponses positives.


Première partie :
Je ne peux commencer ma journée sans café / Je fonctionne au ralenti / J’ai l’impression d’avoir l’esprit lent / Ma libido est aux abonnés absents / Je préfère suivre que décider / Je déprime facilement / Quand il y a une épidémie, je passe rarement au travers / Je suis plutôt pessimiste / Je préfère remettre au lendemain / Le lit est mon ami, j’ai du mal à en sortir / Je suis plutôt timide / J’aurai tendance à prendre du poids / J’ai parfois peur d’être observé / J’ai du mal dans l’apprentissage, l’assimilation / J’ai une mauvaise aptitude à l’abstraction / J’ai de la difficulté à gérer le stress / Je manque d’attention / Ma thyroïde est un peu fainéante / Je ne saurais me passer d’aliments sucrés, je grignote / J’ai parfois du mal à atteindre l’orgasme / Je peux être fatigué sans avoir rien fait / Je culpabilise facilement / J’ai une mauvaise image de moi / J’ai du mal à finir ce que je commence.


Deuxième partie :
J’ai fréquemment besoin d’uriner / Je suis de nature anxieuse / Mon transit n’est pas régulier /Je me mets en colère facilement / J’ai le sommeil excessif, une bonne nuit ne suffit pas à me recharger / Mais mains sont froides ou moites / Je transpire facilement, y compris la nuit / J’ai souvent mal au dos / J’ai souvent mal à la tête / J’apprécie les aliments amers, du moins j’en ressens le besoin / J’ai un tempérament nerveux / J’ai besoin parfois de relire un paragraphe pour mieux le comprendre / Je passe du coq à l’âne / J’ai souvent des tensions musculaires / La recherche du plaisir sexuel n’est pas un but en soi, je peux m’en passer. / Mes relations amoureuses ne durent pas / Ma tension n’est pas bonne / Tant que ça me distrait, j’aime faire les choses / J’ai un tempérament anxieux / Mes émotions prennent toujours le dessus / J’ai des flatulences, de la dyspepsie / Je fais parfois fuir les gens / Je suis en demande de reconnaissance / Il m’arrive d’avoir des palpitations cardiaques.

 

Troisième partie :
J’ai besoin d’aliments qui tiennent au corps, gras de préférence / J’ai les os fragiles / J’ai de l’arthrose / L’imagination n’est pas mon fort / J’ai perdu en créativité / Je n’ai pas la mémoire des dates / Je n’ai pas la mémoire des noms / La routine me va bien / Mes capacités sexuelles ne sont plus ce qu’elles étaient / J’ai du cholestérol / Je dors mal / J’ai déjà touché aux drogues / Agir seul est ma préférence / Je peux revoir un film sans m’en rendre compte de suite / Mes réflexes sont ralentis / J’aurais plutôt tendance à voir le verre à moitié vide / J’ai oublié de faire du sport / J’ai du mal à m’intéresser à ce que racontent les autres / J’ai une mauvaise aptitude à l’abstraction / Je focalise sur mes défauts / J’ai besoin de mon tabac / J’évite de parler de moi / Je fais de la dyslexie, j’inverse les mots / Je fais de la rétention urinaire

 

Quatrième partie :
Quand je me réveille, j’ai du mal à me rendormir / Je manque de sommeil / Je me lève tôt / Je déprime facilement / Je refais souvent les mêmes erreurs / Il m’est arrivé de penser au suicide / J’ai l’orgasme rapide, ou j’éjacule vite / Je manque d’enthousiasme, même pour mon activité préférée / Je compense par la nourriture / Manger ne m’apporte pas de plaisir / J’ai pris du poids / J’ai parfois du mal à respirer / Il n’y a pas de sens à ma vie / Je m’irrite facilement / J’ai besoin de sucres rapides / Je transpire facilement / Parfois, j’ai des pensées d’autodestruction / J’ai facilement des douleurs / J’ai un besoin fréquent d’uriner / Je suis d’un tempérament anxieux / Je manque de sagacité / Je n’ai pas le sens de l’orientation / J’ai tendance au repli sur moi


Réponses aux tests : Le premier test permet d’évaluer une carence en dopamine (rééquilibré avec TYRO +), le second en GABA (acide gamma-aminobutynique)  (rééquilibré avec Digilance), le troisième en acétylcholine (rééquilibré par Créacholine et Ovocéane), le quatrième en sérotonine (rééquilibré avec Joyance). Il y a à chaque fois 24 questions. Si dans un test vous dépassez cinq réponses positives, vous êtes en petite carence pour le neurotransmetteur concerné. Jusqu’à quatorze réponses positives, la carence est plus prononcée. Au-delà, c’est une carence majeure. Quelle que soit la carence, il faut réagir.